New technologies, GIS and 3D in european archaeology
1-2 Jun 2012 Paris (France)

10200 > By speacker > Vergnieux Robert

Friday 1
3D for archeology
à définir
› 10:30 - 11:00 (30min)
Archéovision (UPS 3551)
Robert Vergnieux  1, *@  
1 : UPS 3551  (Archeovision)
CNRS : UPR3551
* : Corresponding author

La plate-forme technologique 3D Archéovision est devenue un laboratoire du CNRS sous la forme d'une Unité Propre de Service SHS - 3D (UPS 3551). Basée à l'Archéopôle d'Aquitaine, l'UPS dispose d'un centre de réalité virtuelle de 100 places ; d'un plateau de production 3D de 8 postes ; de deux scanners laser 3D ; d'un ensemble d'objectifs et de boitiers de prise de vues numériques ainsi que des espaces serveurs dans le cluster web du TGE Adonis et d'un accès permanent aux clusters du centre de calcul d'IN2P3 et du Méso-centre MCIA de Bordeaux 1. La cellule de transfert Archéotransfert est adossée à l'UPS Archéovision.

Les missions principales sont :

Conservatoire des données 3D SHS :

Les données 3D sont encore volatiles. De trop nombreuses opérations d'acquisition 3D (scannographie 3D) ou de valorisation du patrimoine (réalisation de modèles 3D) ont produit des fichiers numériques 3D aujourd'hui disparus où difficiles d'accès.

Notre action principale est de sensibiliser les porteurs de projet 3D à prendre en compte l'aspect sauvegarde et pérennisation des données. Dans le cas des projets développés dans l'environnement d'Archéovision, nous faisons le nécessaire pour le compte de nos différents partenaires et les données 3D sont insérées dans nos espaces de stockage (TGE Adonis - ccIN2P3).

Aide aux porteurs de projets SHS :

L'UPS répond aux sollicitations des porteurs de projets souhaitant intégrer une dimension 3D dans leur recherche. C'est donc par le dialogue entre porteurs de projet et l'UPS que se mettent en place les collaborations, partenariats ou définition des prestations. Les demandes d'expertises sont de plus en plus nombreuses, un formulaire a été mis à disposition sur le site web Archéovision. L'éventail des demandeurs s'étend depuis le doctorant souhaitant intégrer une composante 3D dans sa recherche jusqu'au chercheur souhaitant soumettre une réponse aux appels à projet de l'ANR, en passant par les collectivités territoriales souhaitant la valorisation d'un bien patrimonial tout en respectant une déontologie scientifique pour l'élaboration des modèles 3D.


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